-
Par rvp le 16 Novembre 2014 à 10:52
Jarvis Cocker (Sheffield)
E.P. Fat kid
(Rough Trade) '07
Fat Children( Fat Kidz (Let Them Eat Acid) Extra-Large Mix)
Jarvis Cocker naît le 19 septembre 1963 à Sheffield (Royaume-Uni).
Il forme son premier groupe de rock Arabacus Pulp à l'âge de Quinze ans. Devenu l'instrument des fantasmes musicaux de cet émule de Scott Walker, Pulp subit un parcours cahotique dans la seconde division du rock indépendant anglais avant de connaître une reconnaissance soudaine en 1992 avec la compilation The Gift Recordings, amplifié par les succès des albums His'n'Hers (1994) et Different Class (1995).
Pulp devient l'un des groupes phare du mouvement britpop et son leader (très à l'aise sur scène) est perçu comme l'un des auteurs et chanteurs les plus singuliers, dont les textes racontent le quotidien glauque et amer de ses concitoyens (« Common People »). En 1996, il se fait remarquer lors de la cérémonie des BRIT Awards en singeant Michael Jackson dans le dos du chanteur, ce qui lui vaut d'être arrêté puis relaxé, ainsi qu'un beau scandale.
Collaborations
Jarvis Cocker saborde son groupe en 2001 et tente l'aventure en solitaire. Installé à Paris avec sa femme (la styliste Camille Bidault-Waddington), il tâtonne dans l'electro avec Jason Buckle pour le projet A Heavy Night with Relaxed Muscle sous le nom de Darren Spooner en 2003, et marque sa contribution chez Nancy Sinatra et Marianne Faithfull.
En 2006, l'admirateur de l'oeuvre de Serge Gainsbourg (dont il partage un certain dandysme) apparaît sur la compilation hommage Monsieur Gainsbourg Revisited (« I Just Came to Tell You That I'm Going ») et collabore à l'album de Charlotte Gainsbourg (5:55).
Malgré les titres « Running the World » et « Don't Let Him Waste Your Time », son premier album solo Jarvis (novembre 2006, n°37) reçoit de bonnes critiques sans renouer avec le succès public.
Le successeur, Further Complications (mai 2009) est conçu comme un projet artistique global. Le chanteur tente l'expérience de l'artiste en résidence à la Galerie Chappe, proposant aux visiteurs des séances musicales ou de relaxation.Les cousins New-Yorkais :
BAND OF OUTSIDERS & CERTAIN GENERAL
BAND OF OUTSIDERS
« Everything takes forever »
(L'Invitation au Suicide) '84
Dutch girl concern
Titre de la version américaine de « Bande à part » (1964) de J-Luc Godard avec Anna Karina & Claude Brasseur. Chanson co-écrite par Jim Mc Carthy et Phil Gammage. Reformés en 2008 avec un E.P. « Sound beach quartet » en 2012. CERTAIN GENERAL
« November's Heat »
(L'Invitation au Suicide) '84
My gang in the woods
Certain General est un groupe de musiciens américains post-punks formé à New York en 1980.
À l'origine, les premiers membres étaient : Parker Dulany, Phil Gammage, Marcy Saddy et Russell Berke.
Le groupe eut une certaine notoriété en France où sort en avant-première, en novembre 1984, leur troisième album, November's Heat chez L'Invitation au Suicide Records (IAS Records). Cet événement est salué par la une de Libération du 3 février 1985. Par la suite, le groupe signera plusieurs albums avec des éditeurs français dont Barclay Records.
Phil GAMMAGE
« Night train »
(New Rose) '90
In the pines
Il quitta Certain General dès 1985 pour reformer son précédent groupe, The Corvairs dont New Rose sortit le second album « Hitch-hiker » en '89. Gammage enchaîna chez eux avec 3 Lps solo puis revint sur Last Call à la toute fin du siècle. Marc JEFFREY
« Playtime »
(Behemoth) '90
Under the floor
Unique Lp solo de l'un des guitaristes-chanteurs de Band of Outsiders. Ce label de Las Vegas l'a édité à 750 exemplaires avec un single en bonus. Sans celui-ci, il existe une versions européenne en vinyl et CD. Apapritions non créditées de Nikki Sudden et Ivan Kral (basse, claviers) qui produisit Band of Outsiders. 
Les 45 Print-tours Notre sélection de singles parus en septembre & octobre 1969 FACTORY (Surrey, Angleterre)
(CBS)
Try a little sunshine
Très jeune trio qui insista pour qu'un producteur de passage assiste à une de leurs prestations. L'effet espéré se produisit d'où l'enregistrement de 2 singles devenus rarissimes car très peu vendus. Celui-ci est le second écrit et enregistré par John Pantry, reconnu pour ses sessions avec Donovan, Small Faces, Bee Gees, Who, Jimi Hendrix, & Cream
LEGEND
(Southend-on-Sea, Essex, Angleterre)
(Bell)
Georgia George Part 1
Sans doute le premier esxemple de pub-rock. Mickey Jupp est accompagné par les ivoires de Gary Brooker : Procol Harum est aussi né dans cette ville portuaire qui nous donnera plus tard Doctor Feelgood.
The TEMPTATIONS (Detroit) (Tamla) 
I can't get next to you
Le succès continue après le départ du lead vocalist David Ruffin . Le groupe s'était constitué en '60 par fusion entre 2 formations rivales dont Otis Williams & The Distants. Otis est le seul à figurer encore dans les Temptations de nos jours. Composé par Norman Whitfield et Barrett Strong, elle prit la 1ère place des charts au « Sugar, sugar » des Archies puis fut reprise, notamment par Savoy Brown et Al Green. Les VARIATIONS (Paris)
(Odéon)
What's happening
Formé en '66 par le guitariste Marc Tobaly qui retrouve à Paris le batteur Jacky Bitton et le chanteur Jo Lebb qui l'avaient impressionné lors d'un concert donné au Maroc où il avait grandi. 
Nouveautés CAMERA (Allemagne)
« Remember I was carbon dioxide »
(Bureau B)
Roehre
Nouvel album du groupe allemand CAMERA, mélange de Kraurock à la CAN ou NEU! et de musique électronique, fortement influencé par KRAFTWERK. Le groupe originaire de Berlin a pris l'habitude de jouer dans des lieux farfelus (métro, parcs, dans la rue) et c'est cette énergie live et improvisée qui les a fait connaître à la vitesse "grand v" . Ce nouvel album intitulé "Remember I Was Carbon Dioxide" ne déroge pas à la règle: enregistré très rapidement, pour garder cette énergie "live", il permet de constater que le groupe ne cesse de se réinventer car il se met en danger permanent. James WILLIAMSON
(Ann Arbor, Michigan)
« Re-licked »
(Leopard Lady)
Scene of the crime
Album reprenant des chansons relativement peu connues des Stooges avec, pour chaque interprétation, un chanteur différent. On retrouve ainsi Nicke Andersson (Hellacopters), Lisa Kekaula (Bell-Rays), Alison Mosshart (Kills) ; Ici, Bobby Gillespie HALASAN BAZAR (Copenhague)
« How to be ever happy »
(Requiem pour un twisteur)
Tin foiled
De la folk noircie, une voix écorchée et des balades psychédéliques déstructurées : bienvenue chez Halasan Bazar, quintet danois un peu fou et sacrément hypnotique.
GOAT (Suède)
« Commune »
(Sub Pop)
Hide from the sun
Commune, deuxième album studio du groupe suédois. Passés quelques effets de redites et autres titres faiblards (le mou du genou To Travel The Path Unknown, le poussif Bondye), Goat parvient à surpasser sa recette initiale. A la dépasser même. Première pièce-maîtresse de l'album, l'introductif Talk To God donne le la. Si les trois premières minutes sont dans la droite lignée de World Music, entre lignes de guitares sahariennes, chants incantatoires et percussions tourbillonnantes, la dynamique change avec la prise de pouvoir de la basse, imprimant une orientation nouvelle au morceau. Et à la musique de Goat.
Des bourdons synthétiques de Words aux sonorités vintage de Goatchild, une énergie plus sensuelle que chamanique suinte de ces compositions. Le psychédélisme se déguste aussi groovy et trouve son apogée avec Goatslaves, l'autre pièce-maîtresse de Commune, portée par une basse énorme et des rythmiques épileptiques. Une forme de carnaval musical qui sied mieux à Goat que sa collection de costumes. Et impose le groupe suédois en redoutable machine à danser.
votre commentaire
-
Par rvp le 8 Novembre 2014 à 11:43
Jacques DUTRONC
« Jacques Dutronc »
(Vogue) '71
Restons Français,
soyons Gaulois
Jacques Dutronc (1971) , cinquième album studio de Jacques Dutronc sorti en 1971. Il regroupe la production de Jacques de 1970 et 1971. Un titre de ces deux années-là, À la vie, à l'amour, n'est pas présent sur l'album (repris dans Jacques Dutronc au Casino). Parmi les titres, on trouve L'Arsène, chanson générique de la série télévisée Arsène Lupin, qui s'est très bien vendu et a même été classée nº4 en Suède, et Le fond de l'air est frais, chanson dont les paroles sont signées Fred, dessinateur de Pilote. À la queue les Yvelynes, un rock jouant sur les noms de ville de ce département est plus proche du point de vue du style de ses débuts. La première chanson écrite en verlan par Dutronc lui-même, J'ai la cervelle qui faisait des vagues fut boudée par les programmateurs, qui ne la comprenaient pas.
INDIAN GHOST (Toulouse)
« Old music will have to go » (Popsisters) '13
Except me darling
4ème album pour ce groupe qui suit sa propre route depuis une vingtaine d'années. Quelque réminiscences Lou Reediennes.
AUT' CHOSE (Montréal)
« Chaud comme un juke-box »
(CBS) '77
Blue jeans sur la plage
En 1974, c'est la rencontre entre le poète des villes Lucien Francoeur (voix) et le compositeur Pierre A. Gauthier (guitare). Le premier fait de la poésie Rock & Roll, le second fait de la musique Rock & Roll.
C'est l'idée de départ du groupe Aut'Chose. Se joignent à eux, le bassiste Michel "Mick" Gauthier, frère de Pierre, le batteur Jacques Lalumière et le guitariste Jacques Racine. Au fil des années, la liste des musiciens sera régulièrement modifiée, avec l'arrivée de François Lebarbé (batterie 1975), Jean-Paul Harnois (batterie 1976) et Jean-François St-Georges (claviers 1975), entre autres.
Aut'Chose, c'est la poésie de ruelle de Francoeur sur les musiques rock de Gauthier. Les paroles sont dites et non chantées, ce qui en fait un peu l'ancêtre du rap. Ils traitent de sujets durs, avec les mots appropriés, ce que l'on appellera de la "poésie urbaine". Certaines des chansons sont dignes de mention, notons: J't'aime pis j't'en veux, Hey You Woman (une reprise de la chanson de Michel Polnaref) , Prends Une Chance Avec Moé, Nancy Beaudoin, Blue Jeans Sur la Plage (une reprise de la chanson des Houlops)...etc.
SQUARE (France) « Square » (Altophone) '76
Hold on
Une étoîle filante ; duo apparaissant sur un label indépendant qui édita plusieurs disques la même année avant de s'évanouir. KILL FOR TOTAL PEACE
(Paris / Londres)
« Kill for »
(Pan European) '09
Residance
Leur nom annonce à lui seul tout un programme, aussi noir que le garage psychédélique auquel ce duo parisien – dont le chanteur est anglais- s’adonne. Pas totalement inconnus au bataillon, Intra Moros et Oliver Cage ont signé sur le label français Pan European Recording, créé par le musicien Romain Turzi, pour sortir un premier album Kill For en 2009. En février dernier, les deux acolytes ont sorti un maxi, KFTP, en collaboration avec Arnaud Rebotini.
Sur leurs morceaux, la voix grave et chaude du chanteur se fond dans une ambiance musicale proche de celle du Velvet Underground, mimant une marche militaire sur Captain America, se noyant dans la réverb’ sur Elevator Love, ou s’effaçant sur Le Jeu d’échecs pour laisser place à des nappes synthétiques.The PRISONERS (Chatham, Kent)
Compilation « Hurricane»
(Big Beat) '04
Mrs Fothergill
Un des nombreux Instrumentaux interprétés par le shéritiers des Small Faces. Après leur split, l'organiste Jamie Taylor connaîtra de beaux succès avec des lps entièrement instrumentaux dans le style des musiques de John Barry.
PAVLOV'S DOG (St Louis, Missouri) « Has anyone seen Sigfried ? » (Rockville) '07 
Falling in love
L'histoire de ce 3ème album du groupe américain PAVLOV'S DOG est un peu compliquée.
Formé en 1972, le groupe qui évolue dans un rock aor mâtiné de progressif a été fondé par Mike SAFRON, batteur et David SURKAMP, chant et guitare.
Le premier album, Pampered Mental sort en 1974, At The Sound Of The Bell en 1976 et le troisième album, intitulé Third ne verra pas le jour tout de suite, Columbia (la maison de disques) ayant décidé de rompre le contrat avec le groupe.
Alors, bien évidemment, l'album va se transformer en un "bootleg", réalisé à partir du vol des bandes d'enregistrements (c'est pas joli joli !). Une première version sort en 80 sous le nom de groupe THE ST. LOUIS HOUNDS (St Louis étant la ville d'origine du groupe dans le Missouri).
Puis, en 2007, l'éditeur allemand Rockville le distribue en toute légalité en version remasterisée avec 9 titres "bonus".GALLON DRUNK (Londres) « You, the night … and the music »
(Clawfist) '92
Gallon Drunk
Londres, début des années 90. Il fait nuit, il fait chaud, l’orage éclate et quatre créatures blafardes surgissent des profondeurs du bayou, dans un boucan d’enfer. Il n’y a peut-être pas de bayou à Londres, mais c’est pour situer : Gallon Drunk, dont sont ici réédités les deux premiers albums et une compile de singles, était le chaînon manquant entre les Cramps et le Birthday Party.
Un combo de rock garage à l’ancienne, poussant dans ses retranchements l’esthétique du genre : tambours de guerre, guitares surf mazoutées, chant de loup-garou, le tout recouvert d’une moumoute en faux léopard du meilleur goût. Des chansons erratiques, des maracas vaudous, du mambo décadent, des pochettes exotica-trash : un grand moment de rock’n’roll, entre cabinet de curiosités, chambre de tortures et fête foraine pour adultes. les inrocks
GALLON DRUNK (Londres)
« The soul of the hour »
(Clouds Hill) '14
Dumb room
Carrière à éclipses commencée à la fin des '80's. Après 4 ans d'absence, ils étaient revenus en 2012 avec « the road gets darker from here ». Celui-ci paraît sur le même label de Hambourg.
Ed KUEPPER (Australie)
« A king in the kindness room »
(Hot) '95
Highway to hell
Pour définir la façon d'être et surtout de chanter d'Ed Kuepper, on dira qu'il se situe à mi-chemin entre les chanteurs distants et ceux qui s'investissent dans leur chant au risque d'être maniérés et dans lesquels on mettra quelques-uns tels Peter Perrett, Nikki Sudden entre autres. Il fait plutôt partie des marmonneurs (un peu comme Kurt Cobain sauf qu'il ne hurle jamais). Sa voix est un peu traînante au point que l'on pourrait croire parfois qu'il imite son frère ennemi Chris Bailey. Ses mélodies sont assez simples, évoquant souvent tel ou tel sans qu'on puisse toujours mettre un nom sur cette réminiscence un peu vague. Mais le charme fonctionne...
BONZO DOG DOO-DAH BAND (Londres)
« The history of the Bonzos »
(United Artists) '74
We are normal
Phénomène scénique plus proche du music-hall, voire du cirque que du gig pop, l'équipe menée par le pianiste – compositeur Neil Innes (futur Monty Python) et le chanteur-trompettiste Viv Stanshall comptait des célébrités parmi ses aficionados. Mêlant sketches et pièces musicales, cette double compilation fut initiée par Andrew Lauder, homme-clé du Pub-rock. Cet extrait provient du second album « The doughnut in Granny's Greenhouse » ('68). Davy GRAHAM (Londres) « Anthology 1961 - 2007 »
(Les Cousins Music) '12
Hessamalo
Eclaireur du courant folk Britannique, il ouvrit la voie à Bert Jansch et autres John Renbourn. Ce coffret de raretés débute par des captures en public et s'avèrera sans doute par trop austère pour l'auditeur non averti. Ici, un instrumental orientalisant du début des '70's. 1 commentaire
-
Par rvp le 26 Octobre 2014 à 00:10
The Human Instinct
(Nlle Zélande puis Londres)
single (Deram) '68
Renaissance fair
La chanson des Byrds sans l'ambiance orientale, surlignée d'instruments à cordes ! Devant le manque de succès, ils regagneront les Antipodes où leurs albums seront appréciés. 
Concert à La Coopérative de Mai (Clermont-Ferrand) mardi 28 octobre Ty Segall & Mikal Cronin
(San Francisco)
« Reverse shark attack »
(Kill Shaman) '09
I wear black
Toutes les compos sont co-signées des 2 artistes, exceptée « Take Up Thy Stethescope And Walk « de Pink Floyd Ty Segall
« Melted »
(Goner) '10
Mrs
Une supplique adressée au fleuve Mississippi pour rédemption Ty Segall & White Fence
« Hair »
(Drag City) '12
Easy ryder
Une nouvelle collaboration avec Tim Presley sure le nouvel album de White Fence a été facilitée par le retour de Segall à Los Angeles. Ty Segall « Twins »
(Drag City) '12
Thank God for sinners
Un de ses 3 albums sortis en 2012, Ty Segall « Manipulator »
(Drag City) '14
Manipulator
Avec l'apport du synthé de son producteur Chris Woodhouse 
La pointe d'exotisme Les Frères Mégri (Maroc)
« Les frères Mégri »
(Philips) '71
Sebar
Avec leur groupe fondé dès 1957, les quatre frères Megri (ou Migri) ont pratiqué au moment de leur apogée de ce qu'on allait appeler du rock psychédélique à la fin des années 1960, début 1970, chanté en darija arabe. Ce genre musical est caractérisé par une construction rythmique peu complexe et hypnotique, des mélodies répétitives et pénétrantes. Ils étaient certainement trop en avance sur leur temps au Royaume Chérifien et n'ont pas reçu les honneurs qu'ils méritaient pour leur oeuvre ! Seul le label Philips avait misé sur leur talent !
De Nouvelle-Zélande,
la famille FINN
« We're a happy family » 
SPLIT ENZ (Auckland)
« The Harlequin sessions »
demo '76
Family way
Split Enz were one of the most successful New Zealand musical acts of the late 1970s and early 1980s. Formed in 1972 and featuring Phil Judd and Tim Finn and later Neil Finn, the band would go on to achieve chart success in New Zealand, Australia and Canada ‒ most notably with their 1980 single "I Got You" - and built a cult following elsewhere. Their musical style was eclectic, incorporating influences from art rock, vaudeville, swing, punk, rock, new wave, and pop. Split Enz established a reputation for a distinctive visual style, thanks partly to their colourful, offbeat costumes and hairstyles.
SPLIT ENZ
« Dizrythmia »
(Mushroom / A&M) '77
Bold as brass
The group's career falls into two phases. They began as an acoustic folk band in the early 1970s and by the time they recorded their first album they had changed to electric instruments and took on a progressive rock sound. From 1977 onwards, with the departure of songwriter/guitarist Phil Judd and the arrival of Neil Finn, Split Enz' sound began to move from progressive rock towards new wave and pop. The early 1980s proved the group's most commercially successful period, with a string of popular albums. The videos for some of the songs from this period were among the first played on MTV. Since the band's breakup in 1984, the group has reunited several times, and its members have gone on to create varied musical groups with one another, including Neil Finn's band Crowded House, Schnell Fenster, Citizen Band and the Finn Brothers. The Finn Brothers "Finn"
(EMI) '95
Suffer never
The Finn Brothers are a New Zealand musical duo consisting of brothers Neil and Tim Finn. In June 1993 both members were awarded the OBE for their contribution to music.[1]
The brothers began making music together at a young age; later, when Neil was 18, he was invited to join older brother Tim in Split Enz.[2] Neil would go on to write one of the band's biggest hits, I Got You. Tim released his first solo album Escapade before leaving Split Enz, and the band folded soon after. Neil started his own group, Crowded House and subsequently recorded two solo albums after Crowded House split in 1996. He reformed Crowded House in 2007 and two albums have so far followed, with another solo album due in 2014.
After working on some songs with Neil, Tim joined Crowded House for the Woodface album and accompanying tour in 1991.
Pajama Club (Neil & Sharon Finn) "Pajama club"
(Lester) '11
Tell me what you want
Ils semblent si contents de rejouer ensemble qu'on n'a pas envie d'être méchant avec The Finn Brothers. Alors que le fan de Crowded House qui sommeille en nous ne demandait qu'à être réveillé, on reste pourtant stupéfait devant le peu de saveur de ce Everyone Is Here. L'excellent songwriter Neil Finn, son frère Tim et leur producteur historique Mitchell Froom, responsables des heures les plus fiévreuses de Crowded House (Weather With You, Fall At Your Feet), ont du mal à retrouver le feu sacré. Les ingrédients de leur pop au classicisme désuet sont là : mélodies bien troussées, instrumentation chaleureuse, harmonies vocales. Les trois premiers morceaux sont plutôt réussis et touchants, mais la suite est écrasée par une production emphatique. Les chansons peinent à décoller, trahissant un savoir-faire d'artisans appliqués. Liam Finn « The nihilist »
(Yep Roc) '14
Wild animal
Né le 24/9/1983 à Melbourne (Australie) mais citoyen néo-zélandais, Liam Mullane Finn est le fils aîné de Neil Finn, dont les états de service en compagnie de son frère Tim au sein de deux groupes majeurs du post-punk (Split Enz) et de la pop (Crowded House) en ont fait l’un des compositeurs les plus doués de sa génération.
A sa naissance, le rejeton se voit destinataire d’une chanson de Split Enz, « Our Day ». C’est donc tout naturellement que le petit Liam grandit dans cet univers musical et s’imprègne des mélodies tricotées par son père, avant de les reproduire sur sa première guitare. A la sortie de l’adolescence, Liam Finn et son ami Matt Eccles (également fils de musicien) forment le groupe rock Betchadupa, signé sur le petit mais prestigieux label Flying Nun.
Deux albums paraissent sous cette étiquette (The Alphabetchadupa et Aiming For Your Head en 2002-2004), parallèlement à de nombreux concerts en support à de grands noms de passage : Queens of The Stone Age, Foo Fighters et Jane’s Addiction. En 2004, Betchadupa s’installe à Melbourne, avant de migrer vers Londres puis de se séparer, laissant la voie grande ouverte à la carrière solo de Liam Finn.
Sans attendre, ce dernier met au point la formule pop magique présidant à l’arrivée d’un premier album lumineux, I’ll Be Lightning, qui s’inscrit déjà dans la grande tradition familiale. Paru à l’été 2007 dans sa contrée d’origine puis distribué au début de l’année suivante outre-Atlantique, l’album sort en France à l’automne 2008, précédé d’une belle réputation avec les chansons « Second Chance » et « Lead Balloon », dignes descendantes d’une lignée noble et premières promesses d’un avenir radieux. votre commentaire
|
 Créer mon blog |
Créer mon compte |