-
Par rvp le 30 Novembre 2014 à 19:21
RADIO BIRDMAN (Sydney)
coffret (Citadel) '14
You're gonna miss me
Extrait du CD bonus de la réédition du 1er album "Radio appears" (SIRE & Trafalgar) '78. Chaque album a le sien auquel s'ajoute un album (double en vinyle) enregistré sur une scène Australienne peu avant leur départ pour Londres. La scène de San Francisco au milieu des '70 's The RESIDENTS « Santa Dog »
(Ralph) '72
Fire
"Welcome to the wild, bizarro world of the experimental artists The Residents. Little is known about the group’s origins or its members’ identities, although it is widely believed that they are based out of San Francisco, California. When their debut release, Santa Dog, first appeared in 1972 on the equally enigmatic Ralph Records / Cryptic Corporation, the few hundred copies quickly fell on deaf ears and blind eyes. Rumor has it that then-President Richard Nixon sent his record back. True to their “Theory of Obscurity” concept, The Residents cultivate mystery to ensure artistic integrity. With different musical personas for each of its four tracks, Santa Dog is a fully-formed avant-garde pastiche of musique concrète, Raymond Scott-esque exotica, television sound effects and the group’s own mutilated take on rock ’n’ roll that later became their trademark aesthetic. Superior Viaduct is honored to present the first-time vinyl reissue of Santa Dog, complete with Christmas-themed fold-out sleeve. The package is an essential artifact for devout fans and beginners—a puzzle wrapped in a piece of commercial music. Or perhaps it is the other way around?"
The TUBES « The Tubes »
(A&M) '75
White punks on dope
Leur morceau le plus connu, repris entre autres par Nina Hagen (à la Coopé en 28/03/15) et Motley Crue. Originaires de Phoenix, Arizona puis SF Ca, 1er album 75 produit par le musicien, producteur légendaire Al Kooper (Dylan "Like a rolling stone" et Blood Sweat & Tears + sessions pour The Rolling Stones, The Who, The Jimi Hendrix Experience, Alice Cooper, Lynyrd Skynyrd et des dizaines d'autres, CHROME « The visitation »
(Siren) '76
Raider
Recorded in a garage in San Francisco before guitarist Helios Creed joined the group, « The Visitation » is light years away from the incendiary power of 1977’s « Alien Soundtracks » and ’79’s « Half Machine Lip Moves ». It’s close to how Blue Öyster Cult
might have sounded if they’d tried it on as punks. Opener
« How Many Years Too Soon » is infused with a Stooges
energy, as well as long, pealing, mid-70s super-group
guitar solos ; « Return To Zanzibar », « Kinky Lover » and « Sun
Control » are full of swagger. The tender ballad « Caroline »
is a compelling contrast.CRIME single
(Crime Rds) '76
Hot wire my heart
Leur bassiste Ron Greco était en 1966 le batteur de Chosen Few, groupe qui se reformera sans lui qques mois plus tard sous le nom de Flamin' Groovies. A sorti récemment un Lp solo. 1er single estampillé Punk pour un groupe de la Côte Ouest. Version de Sonic Youth sur leur album « Sister » en 1987. «Titre d eleur 2ème simple, « Murder by guitar ». Compilation d'enregistrements studio « Murder by guitar '76 - '80 » paru à l 'été 2013 puis réédité un an plus tard : « une des 10 meilleures rééditions de l'année » selon MOJO. The READYMADES
E.P. (Automatic) '78
Terry was a space cadet
N'existera qu'une année, EP paru sur le label de Gregg Turner des Angry Samoans, produit par (William) Novak tout comme le second disque de Crime. Jonathan Postal (basse, chant) poursuit une carrière de photographe, Paul Zhal rejoint Tuxedo Moon, Morey Goldstein et Ricky Sluidge forment Wolvarines avec Klaus Flouride des Dead Kennedys. Psychédélisme Français actuel Pt.1 Yussuf JERUSALEM (Saint-Ouen)
« A Heart Full Of Sorrow »
(Born Bad) '10
With You In Mind
Album désenchanté pour cœurs brisés, « A heart Full of sorrow » est l’œuvre de Benjamin Daures, 24 ans, héritier malgré lui d’une tradition de solitaires, qui de Ian Curtis à Morrissey en passant par Kurt Cobain, ont tout joué sur un disque. Leur vie fut sauvée (un temps) par le Rock’n Roll. Bricolé dans sa chambre de banlieusard en fumant des joints, « A heart Full of sorrow » est un premier album qui rêve d’ailleurs (la Death Valley ou les plaines arides du Texas à vous de choisir) comme pour mieux échapper à l’ennui d’ici, à la morosité des portes de Paris. Des ballades larvées et un peu tristes, jetées sur un 8 pistes comme autant de lettres d’adieu à une adolescence qui s’éternise dans la grisaille. ORVAL CARLOS SIBELIUS (Paris)
« Super forma »
Clapping Music) '13
Asteroids
Avec le psyché et pointilliste « Super Forma », le Parisien Orval Carlos Sibelius invite les Who, Pink Floyd et Ennio Morricone à un voyage fascinant,l’ex-Centenaire,Axel Monneau, a
entamé il y a trois ans, après une quête existentielle, ses recherches d’ailleurs dans l’oud arabe ou la musique africaine qui l’ont, au final, ramené vers la pop. « Super Forma » est ainsi un disque total, dense, psychédélique, produit et arrangé dans le pointillisme, une fusée jaune où se croisent, se recroisent et se heurtent les spectres de Syd Barrett, des Beach Boys, des Who, d’Ennio Morricone, du british folk, de la pop moderne, du passé médiéval et de l’avenir incertain. C’est un album bourré de tubes qui cachent bien leur jeu, de chansons piégées dont on ne découvre les chausse-trapes qu’après des dizaines d’écoutes, d’oriental frotté à l’occidental, de chansons douces ou de titres dévalés sur un asphalte bouillant.KOUDLAM « Benidorm dream »
(Pan European Recordings) '14
Negative creep
Publié 13/10/2014. Sorte d'opéra rock synthétique avec beaucoup de bruits variés. Un des dernières publications de Pan European Recording : label parisien depuis 2008 spécialisé avec notamment Poni Hoax, Aqua Nebula Oscillator,... KILL FOR TOTAL PEACE
E.P « Glassface »
(Pan European Recordings) '12
Wooden Hands
2ème EP. Dorénavant un duo formé d'Oliver D. Gage (chant) et Intra Moros (machine). Refus du fourre-tout garage/fuzz/retro/kraut, Musique à base de synthés analogiques, de séquenceurs, de boîtes à rythmes, de samplers,... SUDDEN DEATH OF STARS (Rennes)
« All unrevealed parts of the unknown » (Ample Play / Burger) '14
Bright Sunday
2010 : "Sudden Death of Stars" (EP) 2011 : "Getting Up, Going Down". Le dernier est sorti sur le label londonien Ample Play Rds, fondé par deux musiciens de Cornershop, Enregistré en France avec un musicien de Bikini Machine et des Spadassins. La pointe d'exotisme GRATEFUL DEAD (San Francisco)
« Rockin' the cradle in Egypt »
(Grateful Dead) '78
Ollin Arageed
On reconnait bien le style du Dead et notamment la guitare de Jerry Garcia featuring morceau de Hamza El Din avec the Nubian Youth Choir Les facettes du psychédélisme actuel en France Part 2 STRANGE MILK (Lyon)
« The odd one out »
(autoprod) '13
Saturnine blues
Formation en 2007. Leur 1er album rappelait des sonorités fin '80's ; ce E.P puise davantage dans l'univers psychédélique des '60's. Enregistré au Creusot, leur ville d'origine, WALL OF DEATH (Paris)
« Main obsession »
(Born Bad) '12
Marble blues
Trio formé en avril 2010, par Gabriel Matringe (chant, guitare, sitar), Brice Borredon (claviers, chant) et Adam Ghoubali (batterie). Beaucoup d'aide des Black Angels : 1ère Partie + invités au Psych fest d'Austin + ingé son JC SATAN (Bordeaux)
« Faraway land »
(Teenage Menopause) '13
The last episode
Dans le sillon de Thee Oh Sees et Black Lips, la formation girondine tente de s'imposer avec un son garage très 60's.
« "La débauche sensible des J.C.Satàn replace le curseur à la hausse en France, fessant sa grande bourgeoise de capitale, et vomissant allègrement sur son rock éculé de fashionistas à sacoche". Je vous laisse condamner le narcissisme de cette autocitation, mais c'est ainsi nous concluions déjà, il n'y a de ça que quelques lunes, notre chapitre sur les Bordelais, à l'occasion de la sortie de leur troisième long format, « Faraway Land ».
Une seule des deux Italiennes l'est vraiment, l'autre est argentine ; Paula Scassa (chant), d'Alice Ronzini (basse) et d'Arthur Laregle (guitare) »Os NOCTAMBULOS (Paris)
« Corsica garden »
(Evil hoodoo) '14
Devil don't hide
Autour d'un leader venu d'Angleterre, 3 Parisien(ne)s façonnent un écrin envoûtant qui, en live,remplace l'orgue par la pééminence d'une guitare furieusement surf FRENCH COW-BOY & THE ONE
« French cow boy and the One »
(Havalina) '13
Big trouble
Ils ont collaboré avec Vanessa Paradis puis avec Philippe Katerine en tournée sous le nom de La Secte Machine avant de poursuivre l’aventure musicale séparément.
En 2006, le guitariste-chanteur Frederico Pellegrini se lance dans un nouveau projet en compagnie de trois ex-Little Rabbits, The French Cowboy, une expérience qui s’accompagne de la création du label nantais Havalina Records.
Après trois albums, Frederico Pellegrini et Éric Pifeteau créent une version duo du groupe rebaptisé French Cowboy & The One qui donne naissance à un premier album paru en avril 2013, enregistré à Tucson, dans l’Arizona. Quelques privilégiés ont pu les découvrir en première partie de My Bloody Valentine, lors de la tournée du groupe irlandais à Toulouse et à Paris en juin.
Paradoxalement, la formule se révèle être plus riche que celle à quatre : fidèle à sa volonté de ne pas refaire le même match depuis les débuts de Little Rabbits, le duo réussit le pari de se réinventer à nouveau en faisant la part belle aux machines, aux percussions et aux boucles groovy particulièrement réussies. C’est un appréciable shaker contenant du disco, de la cold-wave, du rock, du blues, du garage et de l’électro.
votre commentaire
-
Par rvp le 30 Novembre 2014 à 09:40
PLANTAINS
(Gd Rapid, Michigan) « Plantains /
Os Noctambulos split Lp » (Stolen Body) '14
Wendy
Sur un label de Bristol spécialisé dans les vinyles à tirage limité. Rebaptisés HEATERS, PLANTAINS figurent aussi sur une compilation « Vegetarian meat » sortie cet été par le label avec notamment Os NOCTAMBULOS et TRAVEL CHECK, autre combo Parisien, enregistré lui au Swampland studio à Toulouse. 
Hommage à
Jack Bruce
L'oeuvre de Jack Bruce se distinguera par un refus de se cantoner à un style défini, son chant prodigieux illuminant une suite d'albums inventifs, toujours de haute tenue et souvent attachants (In Through the Storm, How's tricks, A Question of Time, Something Else, jusqu'au tout récent Silver rails), sur lesquels défilaient la fine fleur du jazz et du rock. Si son jeu de basse suscitait l'admiration de ses pairs qui s'enorgueuillissaient de l'attirer ne serait-ce que le temps d'une session (comme Frank Zappa sur Apostrophe), son chant fut tout autant loué comme l'un des plus formidables évoluant dans la sphère blues rock. Jack Bruce marqua ainsi de son empreinte vocale le monumental opéra jazz de Carla Bley Escalator Over the Hill. Son corps solide, soumis à tous les excès, avait un talon d'Achille : son foie, qui a finit par céder le 25 octobre. Jack Bruce avait 71 ans. Duffy POWER (Londres) « Innovations »
(Transatlantic) '71
réédition CD
« Little boy blue »
(Edsel) '92
Rosie
Dès l'amorce de son évolution vers le R'n'B à partir de 1963 et sa version de « I saw her standing there », il eut recours aux musiciens de Graham Bond : le guitariste John Mc Laughlin et Jack Bruce à la basse (photo). Ce 1er Lp reprend des sessions datant de '65 (fin de cette collaboration) à 1967.
CREAM « Goodbye »
(Philips) '69
Doing that scrapyard thing
Le groupe Cream a vendu 35 millions d'albums en un peu plus de deux ans à peine, son 33 tours Wheels of fire devenant le premier album a recevoir un disque de platine. Jack Bruce a écrit et chanté la majorité des chansons, notamment I Feel Free, White Room, Politician et Sunshine of Your Love qui contient l'un des riffs de guitare les plus joués dans le monde.
Le groupe - qui aurait choisi ce nom parce qu'il se considérait comme la « crème » des musiciens de rock de l'époque - a sorti seulement trois albums studio pendant sa brève carrière, qui s'est achevée en novembre 1968 dans l'acrimonie générale, sur fond d'alcool et de drogue.
Jack BRUCE
« Songs for a Tailor »
(Polydor) '69
The Ministry of bag
Après Cream, Jack Bruce ne connaitra plus le même succès commercial et populaire, mais une longue carrière artistiquement très riche .En solo, sa carrière sera surtout marquée par le succès de son très bel album «Songs for a tailor». Sorti en 1969, il concentre tout le talent du chanteur, compositeur, bassiste avec une belle variété et une conception heureuse de la musique traditionnelle, digne de The Band et Dylan au Big Pink. Le musicien retrouvera son esprit free-jazz et son audace d’avant-garde pour tourner en électron-libre autour de la musique traditionnelle américaine et de ses milles variations. Ses collaborations ont été nombreuses (Zappa ou Lou Reed sont les plus célèbres), dictées par la curiosité, mais aussi parfois par le besoin de payer les factures de ses excès, au point d’en être réduit un temps à devenir musicien de studio. WEST BRUCE & LAING
« Why Dontcha »
(CBS) '72
Shake ma thing
Limiter Jack Bruce à Cream serait réducteur, lui qui a connu une carrière de plus de cinq décennies. Il a en effet joué avec John Mayall ou Manfred Mann avant Cream, ce qui n'est déjà pas rien. Dans la palette musicale couverte par ce blog, retenons les trois bons disques commis entre 1972 et 1974 avec West, Bruce & Laing (le premier et le troisième venant de Mountain), ou les galettes enregistrées avec Robin Trower, "BLT", "Truce" au début des années 80, puis "Seven Moons" en 2008. Jack BRUCE « Silver Rails » (Esoteric antenna) '14 
No surrender
Ecossais, Bruce était très copain avec plein d'Irlandais, dont Rory Gallagher et Gary Moore. Il a monté l' éphémère BBM (Bruce-Baker-Moore) avec Ginger Baker, ex-Cream, à la batterie, et Tommy Eyre aux claviers. Sur 5 décennies il a sorti une quinzaine d'albums solo, le dernier, "Silver Rails", en mars dernier, avec des participations de Phil Manzanera, Robin Trower ou Bernie Marsden. Ce musicien touche à tout a aussi bien continué dans le rock bien électrique que le jazz rock, le jazz tout court ou le progressif, collaborant aussi bien avec Vernon Reid (Living Colour) que Bruce Gary (Knack), ou jouant sur le "Berlin" de Lou Reed ! 
La pointe d'exotisme IDIR
(Tizi Ouzou, Algérie)
« A Vava Inou va »
(Oasis Disques, Pathé Marconi) '76
Isefra
Fils de berger, Idir naît Hamid Cheriet en 1949, à Aït Lahcène en Kabylie. En 1973, alors étudiant en géologie à Alger, il remplace au pied levé une artiste défaillante qu'il était venu accompagner lors d'une émission sur la chaîne kabylophone de la radio algérienne. Sa chanson, « A Vava Inouva » (Mon petit papa), fait le tour de l'Algérie sans être gravée sur disque, Idir ne voulant pas que sa famille sache qu'il soit devenu artiste. La chronique de Fabrice Sa musique est souvent décrite comme un mélange subtil de pop psychédélique et d’électro. La presse la compare facilement à celle des Beach Boys, The Bees ou The Beta Band voire les Beatles période Sergent Pepper. JIM NOIR (Manchester)
« Jim Noir »
(My Dad recordings) '08
Contraction en 8 mns de ce petit bijou
Multi-instrumentiste et génie du Do It Yourself, Alan Roberts de Manchester propose depuis 10 ans sous le patronyme de Jim Noir une pop révisant et revisitant fantômes, spectres et phantasmes de la fin des sixties ; brassages psychédéliques à souhaits, furies soniques au chant démesuré : ce deuxième album est en toute modestie un incontournable du revival "champignonesque"
Les piliers du psychédélisme Angeleno de la fin des Sixties The SEEDS
« A web of sound »
(GNP Crescendo) '66
Pictures and designs
Immense popularité à cette époque mais cantonnée au sud de la Californie. Sous l'impulsion du bassiste-chanteur et producteur Sky Saxon, ils délaissent bientôt leur style réducteur, ultérieurement qualifié « punk » pour s'inscrire dans la veine Flower-power. The WEST COAST POP ART EXPERIMENTAL BAND « Volume 2 »
(Reprise) '67
Smell of incense
Difficile collaboration entre les frères Harris et Bob Markley qui, sans capacités d'exécution musicale, entend imposer ses idées. Absent sur cet album, Michaël Lloyd, proche de Kim Fowley, s'est aussi investi dans ce projet par moments enchanteur. The MUSIC MACHINE
single
(Original Sound) '67
The eagle never
hunts the fly
Vêtus entièrement de noir, ils imposèrent aussi un hit « Talk, talk » dès leurs débuts. Le chanteur Sean Bonniwell persistera après le transfert de ses musiciens vers l'écurie de Curt Boettecher. LOVE « Out here »
(Blue Thumb » '69
I'm down
Formation entièrement remaniée autour d'Arthur Lee après la fin du deal avec Elektra. Les chansons de ce double Lp datent des mêmes sessions que celles du précédent « Four Sail ». Ambiances particulièrement variées au long de ses faces à (re)découvrir. votre commentaire
-
Par rvp le 30 Novembre 2014 à 09:07
Malcolm MIDDLETON
(Falkirk, Ecosse)
on Various Artists
« What the hell are you doing ? » (Full Time Hobby) '14
We're all gonna die
Singer-/Songwriter. He used to be in Arab Strap and Reindeer Section, The but has developed quite a solo carreer since 2001. His newest project is Human Don't Be Angry, featuring more guitar work than traditional songwriting. 
« C'est là qu'on pille » :
la compilation
« Texas music vol.3 : garage-bands & psychedelia » (Rhino) '04
KENNY & The KASUALS (Dallas)
single (United Artists) '66
Journey to tyme
A la fin des '70's, Kenny Daniel reformera son groupe après que l'album « Impact » ait été réédité. Courus pour leurs prestations scéniques, les Kasuals distillaient un répertoire majoritairement empli de reprises des groupes anglais (Kinks, Yardbirds …). Initialement sortie sur Mark en août, cette perle fut reprise par la major en fin d'année où son succès s'étendit vers quelques villes de la Côte Est. Steve MILLER BAND (San Francisco) B.O.F. « Revolution » '68
Mercury blues
A cette époque, Miller s'est déjà bien intégré au milieu rock psychédélique de San Francisco après un court passage à Chicago. Boz Scaggs est le chanteur sur ce classique remontant aux '30's. Scotty Mc KAY QUINTET (Fort Worth) single Falcon '67
The train kept-a-rollin'
Ayant accompagné tout jeune Gene Vincent, Scotty n'apparut ensuite qu'à travers quelques simples épars. Après une tournée en support des Yardbirds, il est assez lié à Jimmy Page pour qu'une session soit envisagée. A défaut, Page se fendra à distance de quelques overdubs, La version commercialisée sur un label créé pour l'occasion par Mc Kay est sérieusement raccourcie : la 1ère mouture frôlait les 4mn. The LEGENDARY STARDUST COWBOY (Lubbock)
single (Mercury) '68
Paralyzed
Norman Carl Odam (chant, bugle, dobro) et T-Bone Burnett (guitare, batterie). D'abord tiré à 500 copies sur son label « Psycho-Suave ». Source d'inspiration pour le Psychobilly et « Ziggy ». Augie MEYERS (San Antonio)
« You ain't rollin' your roll rite » (Paramount) '73
She belongs to me
Son orgue marqua l'identité musicale du Sir Douglas Quintet dès leur 1er hit « She's about a mover » en '65. Lorsque leur leader Doug Sahm collabora avec Dylan, Augie était encore dans le coup. Peu après, il délivra sa version de l chanson composée pour « Bringing it all back home », également reprise par Grateful Dead, Alain Bashung et Neil Finn avec Pajama Club.
Un « One-shot band » 
The BIRDMEN OF ALKATRAZ (Pise) « From the birdcage » (Contempo) '89 April dancer
Italian Neo-Psychedelic Garage band from Pisa, born from the ashes of the Useless Boys; founded in 1984 and actives till 1991. After the issue of the debut 12" "Glidin' Off", Maurizio Curadi left the band and founded the Steeplejack. The Birdmen Of Alkatraz released their first and only album, "From The Birdcage" in 1989 on Contempo Records.
The BIRDMEN OF ALKATRAZ (Pise) « From the birdcage » (Contempo) '89 Anxious colour The BIRDMEN OF ALKATRAZ (Pise) « From the birdcage » (Contempo) '89 
Puzzle of a downfall child
La pointe d'exotisme MOROCCO (Arménie) sur Various Artists : « Waking up Schéhérazade :
Middle East '60's & early '70's »
(Ali Baba & his 40... records) '08
Ela tho Précédente pointe d'exotisme, les Frères Mégri d'Oujda (Maroc) figurent au sommaire. Les 2 faces de ce single promo sorti chez MGM en 1967 sont aussi au menu. Morocco, danseuse du ventre, se produit sur la Côte Est Etasunienne. Elle enregistre ce simple avec John Argyropoulos . 
Le producteur Ian Broudie ECHO & The BUNNYMEN (Liverpool)
« Porcupine »
(Korova ) '83
Back of love
Déjà amoché par ses relations avec l’industrie la première mouture du disque aurait été refusée , le groupe se replie sur lui-même dans les glaces islandaises et invite un copain méconnu, Ian Broudie, à produire ce troisième album crépusculaire. Broudie fait découvrir la sophistication aux chansons rugueuses des Bunnymen. « The Back of love » et « The Cutter » offrent les premiers véritables tubes du groupe qui invente là une manière grandiloquente mais jamais pompière de faire du rock pour les stades. Une merveille. The WILD SWANS (Liverpool) "Space Flower »
(Sire) '90
Melting blue delicious
C’est Ian Broudie, fort du succès inter-planétaire de ses Lightning Seeds, qui épure, comme aux premiers jours. Plus de guitare, moins d’artifices synthétiques : plus viril, moins chochotte. En jouant moins conscient, les Wild Swans se dérident, débarrassés du fardeau qui les avait paralysés sur leur premier album, alors qu’un manager aussi yankee qu’adipeux avait décidé de faire d’eux des Simple Minds à usage américain. Dans cette ambiance, hum, ecstatique de liberté gagnée, les chansons ne s’embarrassent plus de maniaqueries et savent enfin se contenter de mélodies simples The CORAL (Liverpool)
" Roots & Echoes »
(Deltasonic) '07
Who's gonna find me
Le précédent disque de The Coral s'appelait "The invisible invasion" : presque une prémonition, les Liverpuldiens ayant failli se saborder après une tournée de promotion trop longue et des tensions au sein du groupe. Avec quatre Lp et une poignée de Ep entre 2001 et 2005, c'est donc une pause inhabituellement longue qui prend fin pour The Coral. Le temps de se replier sur les fondamentaux : la musique, celle de leurs influences psyché-pop sixties (ça c'est pour les "roots"), pour en proposer une brillante variation contemporaine (les "echoes" ?).
Malgré une qualité d'écriture constante, le groupe ne touche qu'un public relativement restreint, la faute aussi à un certain manque de charisme qui tient en partie au côté inactuel de leur son. The Coral a le culte de la mélodie, dans un emballage sixties très fort (le côté "vintage" un peu réac), d'autant plus marqué par un régionalisme musical très présent : à la différence de tant de groupes qui jouent un rock sans attaches, The Coral vient de Liverpool et cela s'entend. Une tradition mélodique qui remonte bien sûr aux Beatles, et qui a perduré jusqu'aux guitares cristallines des La's ("Jacqueline"). L'esprit du Mersey Beat est toujours là…Miles KANE
(Birkenhead, Merseyside)
"Don't Forget Who You Are » (Columbia) '13
Taking over
Le garçon forme son premier groupe sérieux, The Little Flames, fin 2004, dans sa dix-neuvième année.
La formation tourne avec The Coral à laquelle elle est souvent comparée (son cousin James Skelly en fait partie) ainsi que The Zutons, The Dead 60's et Arctic Monkeys - ce qui donne l'occasion à Miles Kane de lier connaissance avec Alex Turner, leader de ces derniers. The Little Flames fait long feu en raison d'une dispute avec son label. Le chanteur et guitariste Miles Kane réengage ses anciens partenaires Joe Edwards (basse) et Greg Mighall (batterie) au sein de The Rascals dont le premier EP « Out of Dreams », édité fin 2007, est suivi d'une nouvelle tournée avec Artic Monkeys et de l'album « Rascalize », bien accueilli par la critique en juin 2008.
Entre temps, Miles Kane s'est rapproché d'Alex Turner pour le projet The Last Shadow Puppets, soldé par l'album « The Age of the Understatement ». Le départ de Miles Kane en août 2009 laisse The Rascals dans le plus pur désoeuvrement.
Aussitôt signé par la compagnie Columbia, Miles Kane tente une percée en solitaire et fait appel à plusieurs connaissances pour la réalisation de son album : les producteurs Dan Carey côté anglais et Dan the Automator à San Francisco, Noel Gallagher et Gruff Rhys (Super Furry Animals) aux choeurs, l'actrice française Clémence Poésy pour un duo (« Happenstance ») et son ami Alex Turner sur un titre (« Telepathy »).
L'ancien leader de The Rascals se fait alors fort de conforter les espoirs placés en lui avec l'album suivant « Don't Forget Who You Are » qui paraît le 3 juin 2013. Annoncé par les titres « First of My Kind » et « Give Up », l'album écrit avec l'aide de Paul Weller, Andy Partridge, Kid Harpoon et le producteur Ian Broudie tient ses promesses grâce à quelques réussites comme « Taking Over » et le morceau-titreThe WEDDING PRESENT (Leeds) « Hit parade 1 »
( BMG) '92
Silver shorts
In 1992, the band released twelve 7″ singles in one year. Each single had a limited pressing of 15,000 copies, many reaching the Top 30 in the U.K. chart, equalling Elvis Presley’s record for the most U.K. Top 30 hits in one year. A gang of impressive names, including Ian Broudie [The Lightning Seeds] and legendary Rolling Stones producer Jimmy Miller collaborated on the industry-challenging project, ultimately to be compiled on the two ‘Hit Parade’ albums. votre commentaire
|
 Créer mon blog |
Créer mon compte |