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Re-vox Populi! n°222 - 8 janvier 2015
Ils nous ont quitté en 2014 Hommages The HOGS (San José)
single (HBR) '66
Loose lip sync ship Avant d'opter pour CHOCOLATE WATCHBAND, Mark Loomis (lead guitar) et David Aguilar (chant) composèrent à la hâte cette B-side de leur version du « Blues theme » de Davie Allan & The Arrows. Loomis quittera le groupe qu'il fonda après la parution de « One step beyond », debut-album dénaturé par les têtes pensantes de Capitol. Le quatuor à la dégaine de Martiens partage avec leurs confrères de Heavenly Records un amour des textures sonores travaillées et des structures de chanson progressives et surprenantes, - See more at: http://www.dailymars.net/music-mini-review-temples-sun-structures-heavenlypias-cooperative/#sthash.GtC975KY.dpufAlvin STARDUST (Londres)
"The Untouchable''
(EMI) '73
Guitar Star
Au début des 60's, Bernard Jewry avait pris la place du jeune chanteur Shane Fenton, décédé à l'âge de 17 ans. En 1974, il donne un visage au nom d'Alvin Stardust, personnage utilisé par le producteur Peter Shelley qui obtint avec lui un n°2 avec « My Coo ca choo ». Ils ont reparu en 2014 Rééditions The HOT KNIVES (San Francisco) « The Hot Knives »
(Got Kinda Lost)
Sooner or later Fondé en 1972 par Michaël et Debra Houpt, frère et soeur venus de la Côte Est ayant sympathisé avec les Flamin' Groovies par l'intermédiaire des activités théâtrales de leur chanteur, Roy Loney. Les Hot Knives intègrent 2 ex-Groovies : le guitariste Tim Lynch et le batteur Danny Mihm. Discographie limitée à 2 singles jusqu'à cet album posthume dont la version CD était parue en 2011 sur le label Australien Grown Up Wrong. SLOWDIVE (Ecosse)
« Souvlaki »
(Creation) '93
40 days
Groupe à part de la scène anglaise de la fin des années 80, Slowdive fut rattaché d’abord à la scène shoegaze. Le son initial du groupe était plutôt proche de la dream pop de Cocteau Twins. Le quatuor avide de découvertes a su incorporer des éléments très divers dans sa musique : du dub à la techno en passant par l’ambient et la noise. Le succès viendra finalement avec l’album « Souvlaki » puis une collaboration avec Brian Eno. Evoluant hors des scènes formatées du brit rock, Slowdive, capable d’expérimenter tout en écrivant des petits tubes oniriques, a influencé tout un pan de l’indie rock et de la musique électronique contemporaine. Split du groupe au milieu des 90's .Retour fulgurant dans divers festivals en 2014. Un album devrait voir le jour. Les inoubliables de 2014 Concerts Kid CONGO & The PINK MONKEY BIRDS (Los Angeles) « Gorilla rose »
(In The Red) '11
Bo bo Boogaloo
Mêle classe et délire. L'ex Cramps & Gun Club s'est forgé son propre univers dans lequel le public plonge avec délice. MAN OR ASTROMAN ? (Alabama) « Defcon 5...4...3...2...1 »
(Chunklet Magazine) '13
Defcon 5
(Live on KEXP)
En 2013, Man or Astroman ? reprend la route de la scène (pour les dix années du label Touch & Go). C’est alors la reprise d’une musique surf, punk et noisy. Attifé de leur combinaison spatiale, Man or Astroman ? façonne un univers farfelu et cosmique. Règnent ainsi les riffs acérés combinés à des échantillonnages de films de science-fiction. Leur fougue exacerbée concède des performances débridées et ravigote la surf-music. Nos petites faiblesses Coups de cœur Os NOCTAMBULOS (Paris) « Corsica garden »
(Evil Hoodoo)
Devil don't hide
Faisant suite au split-Lp du début d'année partagé avec PLANTAINS (Michigan) pour le compte du label de Bristol STOLEN BODY, celui-ci bénéficie d'une pochette réussie. Le contenu surprendra ceux qui les virent récemment sur scène, l'orgue, en valeur sur la cire, n'étant pas de leurs voyages scéniques. The ORWELLS (Chicago) « Disgraceland »
(Atlantic)
North Ave.
Originaires de la banlieue de Chicago, les jeunes Américains du groupe The Orwells dévoilent un deuxième album très marqué par les années 1990. Disgraceland est ludique, un brin débauché, et on y retrouve des influences intéressantes comme Nirvana, The Strokes et Weezer. Les bad boys du rock'n'roll ont déjà fait parler beaucoup d'eux puisqu'ils ont assuré la première partie des Arctic Monkeys durant plus de cinquante concerts. Disques de chevet Album de l'année ? ACID BABY JESUS (Athènes) « Selected recordings » (Slovenly) Diogene's
Regroupe le produit de sessions s'étant tenues depuis 2 ans dans divers studios.
TeMPLES (Kittering, Angleterre) « Sun structures »
(Heavenly Recordings)
Shelter song
Le quatuor à la dégaine de Martiens partage avec leurs confrères de Heavenly Records un amour des textures sonores travaillées et des structures de chanson progressives et surprenantes, - See more at: http://www.dailymars.net/music-mini-review-temples-sun-structures-heavenlypias-cooperative/#sthash.GtC975KY.dpufLe quatuor à la dégaine de Martiens partage avec leurs confrères de Heavenly Records un amour des textures sonores travaillées et des structures de chanson progressives et surprenantes, - See more at: http://www.dailymars.net/music-mini-review-temples-sun-structures-heavenlypias-cooperative/#sthash.GtC975KY.dpufLe quatuor à la dégaine de Martiens partage avec leurs confrères de Heavenly Records un amour des textures sonores travaillées et des structures de chanson progressives et surprenantes, - See more at: http://www.dailymars.net/music-mini-review-temples-sun-structures-heavenlypias-cooperative/#sthash.GtC975KY.dpufLe quatuor à la dégaine de Martiens partage avec leurs confrères de Heavenly Records un amour des textures sonores travaillées et des structures de chanson progressives et surprenantes, - See more at: http://www.dailymars.net/music-mini-review-temples-sun-structures-heavenlypias-cooperative/#sthash.GtC975KY.dpufDans un déluge d’influences psyché 60’s et 70’s, Temples livre un premier opus parfait. Le quatuor évolue avec aisance dans les sillons tracés avant lui par MGMT, Tame Impala ou encore Toy et Stealing Sheep. Respectueux du passé, les Anglais proposent un beau voyage dans le temps où ils croisent les fantômes des Beatles, des Byrds et de Soft Machine.Une chanson mémorable Millésime 2014 The WICKED WHISPERS (Liverpool)
single (Electone)
You wouldn't believe
Parue en single en prélude à l'album « Maps of the mystic » sur lequel elle figure également. together Pangea
(Los Angeles)
"Badillac "
(Harvest)
Where The Night Ends
« Badillac », troisième production du groupe sortie début 2014, signe la première collaboration de la formation avec le label Harvest Records. Changement d’horizon donc mais l’énergie qui se dégage de leur musique, elle, est restée intacte. « Alive », « Make myself true » et « Does he really care » sont des petites bombes pop punk aux putains de refrains qui te décollent le papier peint (notez que la rime n’est pas intentionnelle). Mais réduire Together Pangea a une bande de musicos un peu bourrins serait injuste et ce serait faire l’impasse sur tout un pan beaucoup plus mélodique de l’album. Le titre « Badillac » en est la plus parfaite illustration. Sans doute le plus mélodique de l’album avec ses chœurs un peu rétro, façon sixties. Mais finalement l’esprit des 60’s ne plane que le temps de quelques mesures avant que le « Ba-dil-laaaaaac » beuglé par le chanteur ne te ramène brusquement à la réalité. Oui, pas de doute, pas d’excès de nostalgie ici, on est bien en 2014.
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